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#407 : En quête de révélations

Résumé : 

Erickson décide de se rendre en Afghanistan pour parler avec Chris, détenu depuis un mois. Mais celui-ci préfère mourir que de céder à la pression.

Ellen rencontre le contact de Bill Herndon à la CIA, afin qu’il puisse identifier Boorman.

Malheureusement il est assassiné avant de pouvoir donner le renseignement. Boorman, qui a compris qu'il était suspecté par Ellen et Patty, réussit à éliminer leur contact.

Michael décide d'attaquer sa mère en justice pour obtenir la garde de sa fille.

Patty découvre qu'elle peut obtenir des informations par le biais de son affaire concernant une entreprise pharmaceutique française.

Titre VO
I’m Worried About My Dog

Titre VF
En quête de révélations

Première diffusion
24.08.2011

Première diffusion en France
15.03.2012

Plus de détails

Le jeune garçon afghan entre dans la pièce où Chris est ligoté. Etonné, il se souvient avoir déjà vu le prisonnier.

 

- - - - - - - - - -   Un mois plus tôt


Patty est chez le docteur Baldwin. Il lui demande de relater à nouveau l’incident qui l’a amenée dans son cabinet. En soupirant, elle raconte qu’elle partait au bureau, le portier dans le hall n’arrêtait pas de lui parler du temps alors qu’elle était au téléphone avec l’Ecole de droit de Yale. Elle essayait, en vain, de faire nommer une bourse du nom de Tom, décédé 3 ans auparavant. Le psy pense que Patty commence à envisager ce que pourrait devenir tout ce qu’elle a construit après elle. Patty affirme qu’elle ne pense pas à « l’après », toutefois son fils aurait pu être un excellent avocat mais refuse d’utiliser son intelligence et ne reprendra pas son cabinet. De plus, Michael la poursuit pour obtenir la garde de Catherine.


Erickson a emmené ses garçons visiter le chantier qu’il va ouvrir sur la propriété achetée à Ed O’Malley. Contre l’avis de leur père, l’ainé entraîne ses frères dans une pièce où Chris est attaché à une poutre. Chris leur confie que leur père a l’intention de le tuer. Questionné par ses enfants, Erickson répond qu’il ne connait pas cet homme. Erickson se réveille brusquement au volant de sa voiture, il s’était assoupi en attendant le retour de l’un de ses fils.

Carter vient faire boire Chris. Enfermé depuis un mois, Chris a perdu la notion du temps. Il demande à Carter s’il peut se renseigner sur son chien pour lequel il s’inquiète. Carter refuse, Chris lui demande s’il va le tuer car il ne peut pas le garder prisonnier indéfiniment. Il lui reproche d’être à la solde d’Erickson. Carter croit toujours travailler pour la sécurité nationale et lui rend sa médaille de Dust Devil avant de sortir.

Patty sait qu’Herndon a un contact à la CIA. Elle lui confie la photo de Boorman dans le par cet lui demande d’obtenir son nom. Elle souhaite pouvoir mettre la pression à Boorman et le retourner contre Howard Erickson. Herndon montre quelque réticente mais promet tout de même d’essayer.

Patty informe Ellen qu’elle va s’absenter deux jours pour enregistrer la déposition concernant l’affaire pharmaceutique. Elle demande à Ellen de la tenir au courant.

Boorman travaille sur le dessin de la femme nue, les images de l’intervention armée en Afghanistan le hantent. Puis il monte dans la chambre où est détenu son prisonnier musulman. Il lui demande à nouveau de lui raconter ce qu’il s’est exactement passé.

Patty prépare ses dossiers lorsque Michael entre dans le bureau. Elle lui indique avoir reçu son assignation et voudrait le convaincre d’abandonner car il va perdre. Michael lui demande de penser à ce qu’il adviendrait de Catherine si Patty venait à disparaître. Il lui rappelle qu’elle lui a menti au sujet de son père et se demande comment Catherine vivra cette situation. Il va utiliser la loi pour reprendre ce qui lui appartient. Il demande à Patty de donner pour lui à Catherine une petite peluche de panda. Patty sort sans la prendre.

Erickson et Boorman visitent le nouveau site. Boorman informe Erickson que Nasim Marwat a signé la déclaration niant toute connaissance de la mission et a reçu un billet pour retour dans son pays. Mais il rappelle qu’il y a toujours Chris Sanchez et qu’Erickson doit décider quoi faire de ce témoin gênant.

Ellen rencontre le contact d’Herndon à la CIA. Ce dernier la met en garde sur le danger à rendre publique toute information qu’il pourra lui donner. Ellen promet de ne rien divulguer. Il est convaincu que son pays a besoin de la CIA mais l’Agence a besoin d’être nettoyée de temps en temps. En conséquence, Ellen et lui ne se sont jamais parlé ni même rencontrés. Puis avant de s’éloigner, il lui demande de venir seule à leur prochain rendez-vous dès qu’il aura une information.

Boorman a fait vérifier son programme d’écoute téléphonique mais le technicien de la CIA n’a rien décelé d’anormal. Si Ellen n’utilise plus sa ligne, Boorman envisage qu’elle soupçonne être sur écoute. Boorman demande au technicien de vérifier si quelqu’un s’intéresse à l’Agence à ses fichiers. Des informations ont filtré sur une opération nommée Dust Devil, qu’il a dirigée.

Patty arrive en retard à la déposition de Monsieur Coupet. Son avocat, Girotto, l’avise que son client voudrait lui présenter une offre. Conscient qu’il s’agit d’une véritable tragédie, Coupet précise que sa compagnie souhaite assumer ses responsabilités. Le développement de nouveaux médicaments est paralysé par le litige en cours. D’autre part, la compagnie représente une grande partie de l’économie de la France. Son gouvernement juge essentiel que cette affaire soit réglée au plus tôt. Le Ministère de la Santé français et le Conseil d’Administration de la compagnie souhaite faire une offre. Malgré la généreuse somme proposée, Patty refuse et veut débuter la déposition.

Boorman rencontre son amie, l’espionne française, dans un hôtel. Elle lui confie que son agence lui a accordé des congés. Il se montre touché qu’elle ait voulu en profiter pour le revoir.

Angel Auroro promène Catherine. Elles sont abordées par Michael, qui entame une conversation avec sa fille puis lui offre la peluche du panda. Madame Auroro refuse dans un premier temps mais Michael insiste et Catherine réclame la peluche.

Boorman rentre chez lui sans s’apercevoir que la française le suit en voiture. Erickson l’attend devant la porte. La française les regarde entrer dans la maison.

Erickson a décidé de se rendre en Afghanistan et revoir Chris Sanchez. Boorman essaie de lui faire changer d’avis, en vain.

La déposition a commencé. Patty pousse Coupet à bout, il craque et la traite de salope manipulatrice. Coupet double alors son offre précédente, refusée à nouveau par Patty qui jubile.

Lorsque Patty rentre chez elle, Madame Auroro raconte comment Catherine a reçu la peluche. Patty, contrariée, lui demande de se débarrasser du jouet.

Erickson est arrivé en Afghanistan et discute avec Carter

Au moment où Herndon découvre le cadavre de son contact devant sa porte, Boorman reçoit un coup de téléphone. Une voix l'informe que son problème est réglé. Accablé, Herndon rejoint Ellen en train d’attendre son contact, pour l’avertir qu’il ne viendra pas. Ils préviennent Patty par téléphone. Occupée par l'enregistrement de la déposition, Patty demande à Ellen de prévenir Huntley et de se rendre avec Herndon au bureau, pour l’attendre. Avant de reprendre la déposition, Patty demande à parler avec Coupet hors compte rendu. Patty accepte la proposition chiffrée de son adversaire mais l’augmente confortablement. Girotto est horrifié, Patty lui rappelle combien résoudre cette affaire est importante pour le gouvernement de son client et expose ses conditions.

Boorman, excédé, fait irruption dans la chambre de son prisonnier. Il est convaincu que ce dernier sait ce que Boorman veut savoir, il était sur place, il a tout vu. Boorman essaie de l’effrayer en lui disant qu’il s’agit de sa dernière chance.

Chris est étonné en reconnaissant Erickson. Il pose à ses pieds un pack de bière, des biscuits puis prend une chaise et s’installe face à lui. Erickson essaie de convaincre Chris de garder le silence pour sauver sa peau. Chris répond qu’il a été torturé pour avoir dit la vérité et maintient que l’opération était illégale. Irrité, Erickson le frappe ce qui fait tomber Chris. Erickson continue à le frapper alors que Chris est ligoté, à terre.

Patty signe les accords pris entre elle et Coupet. Contre le document, Girotto lui remet une clé USB de la part des Services Secrets français.

La française laisse un message sur le répondeur de Boorman, elle souhaite le voir rapidement car son gouvernement le trahit.

De retour au bureau, Patty, Ellen et Herndon peuvent lire la fiche de renseignements sur Gerald Boorman. Ellen est reconnaissante à Patty d’avoir conclu un marché avec le gouvernement français pour faire avancer le dossier High Star. Patty indique que le fichier des services secrets a arrêté de recevoir des informations provenant de Boorman bien avant l’époque de la dernière mission de Chris. Patty et Ellen décident de le piéger. En utilisant le téléphone d’Ellen, Patty donne rendez-vous à Boorman.

Lors de la rencontre, Patty apprend à Boorman qu’elle connait l’opération d’extraction illégale nommée Dust Devil au cours de laquelle des cibles innocentes ont été torturées et trois employés de High Star tués. Elle souhaite faire reconnaitre Erickson responsable et ainsi pouvoir dédommager les familles. D’autre part, sachant qu’il est à l’origine de l’assassinat de son contact à la CIA, elle ajoute qu’elle s’est arrangée pour que tout ce qu’elle sait sur lui soit rendu public au cas où quelque chose arriverait à Ellen ou elle-même.

En retournant au bureau, Patty explique à Ellen que Boorman ne s’est pas dévoilé mais elle affirme qu’il était nerveux. Elle pense qu’il va se retourner contre Erickson.

En effet, Boorman rencontre son chef, Owen. Il lui avoue qu’Erickson a menti et qu’il vient de découvrir que l’affaire High Star concerne bien l’opération Dust Devil. Bien que l’Agence avait annulé l’opération, Erickson a continué d’organiser des missions sans qu’il le sache. Boorman pense qu’il est temps de couper les ponts avec Erickson, High Star doit prendre ses responsabilités.

Dans le salon d’Erickson, auprès d’un bon feu dans la cheminée, Erickson raconte à Boorman qu’il a proposé une main tendue à Chris et qu’il l’a refusée. Erickson pense qu’il faut maintenant l’éliminer. Boorman répond qu’ils se connaissent tous les deux depuis très longtemps et qu’il suivra sa décision à 100 %. En partageant une bière, Erickson le remercie et lui dit que c’est bon de l’avoir auprès de lui.

Pendant l’absence de Boorman, la française crochète la serrure de la porte d’entrée et entre dans l’appartement. Des bruits l’attirent à l’étage. Elle monte et découvre une porte comportant trois serrures et un verrou. Elle pose son oreille contre la porte. A l’intérieur, c’est le jeune garçon afghan qui se lève et vient également poser son oreille de l’autre côté de la porte.

 

 

Le jeune garçon afghan entre dans la pièce où Chris est détenu.

 

Garçon : Je vous ai déjà vu.

 

- - - - - - - - - - - Un mois auparavant

 

Patty est chez son psychiatre.

 

Dr Baldwin : A quoi pensiez vous?

Patty : Mmm... non, à rien.

Dr Baldwin : Vous parliez d'un incident, puis  vous avez commencé à dériver.

Patty : "L'incident"?

Dr Baldwin : Mm. Pourquoi vous ne me le raconteriez pas encore une fois? Pas à pas.

Patty : Je partais au bureau. Je suis sortie de l'ascenseur et je suis rentrée dans le hall. Mon portier a commencé à me parler. Il palabrait sur le temps, et j'essayais de l'ignorer, parce que...

Dr Baldwin : Parce que? Parce que quoi?

Patty : Parce que j'étais au téléphone.

Dr Baldwin : à qui parliez-vous?

Patty : L'école de Droit de Yale.

Dr Baldwin : Et quel était le sujet de la  conversation?

Patty : Mon partenaire, il y a trois ans. Il est décédé, Tom. J'essayais de faire donner son nom à une bourse.

Dr Baldwin : C'est gentil. Y êtes-vous parvenue?

Patty : Non. Je me suis pris les pieds dans le protocole, la politique à l'université... Quoi qu'il en soit, c'est l'appel que je passais.

Dr Baldwin : C'est peut-être pour ça que vous étiez en colère. Tom... Tom était de toute évidence important à vos yeux. Bien, à votre âge, laisser une trace devient important. Vous commencez à penser à votre mortalité.

Patty : Mortalité? Quel âge pensez-vous que j'ai?

Dr Baldwin : Ce n'est pas de votre âge dont je parle, c'est bien plus. Cette... Cette phase de votre vie, quand tout vous souriait. Forte. Au sommet de votre profession. Cela devient important de léguer tout ça. Donc, que voulez-vous faire après?

Patty : Bien, je ne passe pas beaucoup de temps à penser à "l'après".

Dr Baldwin : Mais j'imagine que vous souhaiteriez que votre cabinet subsiste, après votre départ.

Patty : Eh bien, mon fils aurait fait un excellent avocat. Il a un esprit de première catégorie. Mais refuse de l'utiliser.

Dr Baldwin : Donc il ne va pas reprendre votre legs.

Patty : Il me poursuit pour obtenir la garde de ma petite fille.

Dr Baldwin : Y a t-il quelqu'un d'autre?

Patty : Non.

Dr Baldwin : Vous avez mentionné par le passé un jeune avocat. Une femme. Vous ne saviez pas très bien pourquoi vous la gardiez près de vous.

Patty : Oui.

Dr Baldwin : Avez vous fini par l'aider?

Patty : Oui.

Dr Baldwin : Bien, ça, c'est intéressant. Continuez, allez-y.

 

Erickson a emmené ses fils dans l’usine qu’il vient d’acheter à O’Malley.

 

Erickson : Tout ce côté sera démoli pour faire place à de nouveaux baraquements.

Jake : Est-ce que vous allez utiliser de la dynamite?

Erickson : J'en doute. Plus probablement des bulldozers.

Jake : Est-ce que je pourrai conduire le bulldozer?

Erickson : On verra, fiston. Je vous ai amené ici les garçons pour que vous voyez l'endroit avant démolition. Quand vous reviendrez vous comprendrez la signification du mot travail. Ce qu'est le progrès. Parce que, si vous n'avancez pas dans la vie, vous reculez. Il n'y a pas d'entre deux. Compris?

Les garçons : Oui, M'sieur!

 

Pendant qu’Erickson parlait à ses frères, Jake s’est éloigné.

 

Jake : Oh, mon dieu, vous devez voir ça les gars!

Les garçons : Qu'est-ce que c'est?

Erickson : Hey, les gars? Les enfants, n'allez pas là-dedans! Les garçons, ne rentrez pas là-dedans! Revenez. Revenez!

 

Jake les emmène dans une pièce dans laquelle Chris est attaché.

 

Jake : Il s'appelle Chris.

Un garçon : Que fais-tu là?

Chris : Ton père m'a amené ici.

Un garçon : Tu as fait quelque chose de mal?

Chris : Ton père le pense.

Un garçon : Qu'est-ce que tu as fait?

Chris : (chuchotant) Demandes à ton père.

Un garçon : Qu'est-ce qu'il a fait papa?

Erickson : Je ne connais pas cet homme. Les gars, venez.

Chris : C'est bon, Je... Je veux juste vous dire quelque chose. Votre père... il va me tuer.

 

Erickson se réveille brusquement. Il est derrière son volant et attendait l’un de ses fils.

 

Fils : Papa?

Erickson : Salut, mec.

Fils : Qu'est ce qui se passe?

Erickson : J'étais dans les vaps pendant une minute. Je vais bien. Alors?

Fils : Ben, j'ai gagné!

Erickson : Gagné quoi? Je pensais qu'aujourd'hui c'était l'entrainement.

Fils : Non aujourd'hui c'était les play off.

Erickson : Oh! D'accord!

Fils : Ouais, et j'ai finalement battu Dravecki! Je vais faire la rencontre de vendredi, Papa. Tu me verras dans la compétition maintenant.

Erickson : Oui ça se pourrait bien en effet.

Fils : Tu veux dire quoi par "pourrait"?

Erickson : Il y a des choses dont je dois m'occuper au travail. Pas le meilleur moment.

Fils : Okay.

Erickson : Allons chercher du chinois.

 

Carter entre dans la cellule de Chris. Il lui donne à boire.

 

Chris : Depuis combien de temps je suis là?

Carter : A peu près un mois.

Chris : Je m'inquiète pour mon chien. Tu penses que tu pourrais te renseigner? Je l'ai laissée à Ellen Parsons.

Carter : Tu crois qu'on va parler avec ton avocate?

Chris : Je demande juste des nouvelles de... ma chienne.

Carter : Désolé.

Chris : Où est-ce que ça se termine, A.C? Tu vas me tuer? Parce que tu - tu peux pas me garder ici éternellement. Ouais, bien sûr que tu sais pas

comment ça finit. Bien sûr, parce que tu ne fais qu'obéir aux ordres d'Erickson. T'es comme ce putain d'esclave.

Carter : Va te faire foutre.

Chris : Tu dois être payé un putain de paquet, hein?

Carter : Je ne travaille pas pour lui pour l'argent.

Chris : Tu penses que ce qu'on a fait a aidé à gagner la guerre?

Carter : Dust Devil c'était une question de sécurité nationale. Quand je t'ai mis à la tête de cette unité je pensais que tu le savais. Tu m'as dit que tu étais engagé.

 

Carter sort sa médaille militaire, puis la lève et la met aux pieds de Chris.

 

Carter : Pourquoi m'as-tu donné ça? Hein? Parce qu'on avait un accord selon lequel on ferait ce qu'il faudrait.

Chris : J'ai acheté ceux-là pour mes hommes. Je te l'ai donnée parce que je pensais que tu étais des nôtres. Tu ne l'es pas. Tu n'as pas ce putain d'hommes. Erickson ne t'a jamais dit qui on  avait exfiltré à la dernière mission?

Carter : Tu sais que je n'ai jamais demandé, c'est pas mon boulot de savoir ça.

 

Ellen donne la photo de Boorman au parc à Herndon.

 

Herndon : Donc c'est cet homme? Vous en êtes sûre?

Ellen : Il a été vu au centre de détention interrogeant Nassim Marwat. Puis, voilà que Nassim est déporté. Pouvez-vous obtenir son nom pour nous?

Herndon : Vous voulez que je révèle l'identité d'un agent de la CIA? C'est un terrain dangereux. Mon conseil : oubliez tout ça.

Ellen : Eh bien, ce n'est pas une option.

Herndon : Qu'espérez-vous en sortir? Vous ne pouvez pas battre la CIA. Croyez moi, j'ai essayé.

Patty : Bill, si tu peux avoir des infos sur cet homme, nous pourrions lui mettre la pression pour le retourner contre Howard Erickson.

Herndon : Vous voulez juste un nom, donc. Vous voulez des saloperies sur ce gars?

Ellen : Tout ce que vous pourrez trouver.

Patty : Nous savons que tu as un contact à l'Agence.

Herndon (en sortant): Je ne... Je ne promets rien. Je veux dire, vous êtes folles.

 

Ellen : Est ce qu'il a vraiment essayé de s'en prendre à la CIA?

Patty : Il y a 15 ans, Bill est allé à  DC, pour une affaire de corruption concernant le Pentagone. Puis il s'est rendu compte que la CIA était impliquée.

Ellen : Que s'est-il passé?

Patty : Il a attaqué. Ils ont répliqué, fort. Ils ont joué salement. Au final, il s'est rendu compte qu'il devrait faire la même chose. Donc... Il a falsifié des preuves. S'est fait prendre.

Ellen : Et c'est pour ça qu'il a été révoqué?

Patty : Oui.

 

Le téléphone sonne.

 

Patty : Oui?

Maggie : Mme Hewes, votre voiture est là.

Patty : Merci. J'ai peur de ne pas être très présente dans les deux prochains jours.

Ellen : L'affaire pharmaceutique?

Patty : Oui, je ne peux plus la reculer. La date du procès approche, et je dois continuer les dépositions, donc...

Ellen : Pas de soucis, je m'en sors. J'ai un rendez-vous avec les plaignants, et j'espère que Bill trouvera quelque chose. Je te tiendrai au courant.

 

Boorman continue son dessin de la femme nue. Il repense à l’Afghanistan.

 

Chris : Bon Dieu! Putain c'est qui?

Boorman : Notre cible. Nous le sortons de là. Il a des infos précieuses. Assurez-vous que le périmètre soit sécurisé. Nous le sortons de là.

 

Boorman monte à l’étage, il parle à son prisonnier que l’on ne voit pas.

 

Boorman : C'est pas que toi et moi, tu sais. Personne ne sait que tu es là. Réponds moi ! Que s’est-il passé ?

 

Patty prépare des dossiers, devant Michael.

 

Patty : Je dois aller à une déposition. Je n'ai pas beaucoup de temps.

Michael : Tu m'as demandé d'être ici.

Patty : J'ai eu ton assignation. Tu ne veux pas me poursuivre pour la garde.

Michael : De ma fille? Je pense que si. Je t'ai demandé gentiment de la voir. Tu m'as dit non. Tu ne m'as pas laissé le choix.

Patty : Michael, tu vas perdre. Tu seras humilié. Ca te détruira.

Michael : Je ne vais pas m'allonger pour toi.

Patty : Tu as abandonné ton enfant. Fais face à la réalité et  vis avec.

Michael : Je Tu penses faire face à la réalité? Tu y as déjà vraiment réfléchis?

Patty : Je suis en retard. Rien de plus à ajouter.

Michael : Et si jamais tu meurs? Si quelque chose t'arrive, qui va prendre soin de Catherine? Et quand elle vieillira et demandera à propos de son père, tu lui diras quoi? Tu m'as menti au sujet de mon père jusqu' à ce que j'ai presque fini le lycée. Je sais ce que ça fait.

Patty : C'était une situation totalement différente.

Michael : Tu ne peux plus faire les règles du jeu maman. Il y a la loi. Et je vais l'utiliser pour  reprendre ce qui est mien.

Michael : On se voit au tribunal. J'ai raté Noël et son anniversaire. C'est rien, mais j'espérais que tu donnerais ça à Catherine de ma part.

 

Patty ne prend pas la peluche, et sort du bureau sans répondre.

Erickson fait visiter le chantier à Boorman.

 

Erickson : Un économiste à l'université d'Etat a dit que l'expansion allait créer un millier de nouveaux emplois dans la région.

Boorman : Tu parles comme quelqu'un qui considérerait ce présent à une fonction publique Howard.

Erickson : La politique? Pas de ton vivant.

Boorman : Hallelujah.

Erickson : Rien de tout ça n'aurait été possible si tu n'avais pas permis le renouvellement de ces contrats.

Boorman : Je fais juste ma part du marché. L'agence vous remercie de votre assistance.

Erickson : Donc le témoin... Nous sommes dans le vert maintenant?

Boorman : Je M. Nassim Marwat a signé une déclaration niant toute connaissance de la mission, en échange d'un billet retour à la maison.

Erickson : Vous l'avez fait déporter?

Boorman : Parti. Au revoir. Vous ne devriez avoir aucun mal à faire classer l'affaire. Il y a toujours Chris Sanchez. Soit il accepte de la fermer soit il n'accepte pas. Il n'y a pas d'entre deux.

Erickson : Oui, je sais bien.

Boorman : Un jour ou l'autre, tu devras décider ce que vous faites de lui.

 

Herndon a donné rendez-vous à Ellen dans un cimetière.

 

Ellen : Des fleurs pour moi?

Herndon : C'est un cimetière, donc essayez de faire comme si vous aviez une raison d'y être. Et, euh, marchez doucement.

Ellen : Donc, votre contact souhaite nous aider?

Herndon : Il veut vous voir avant. Il veut savoir à qui il a affaire.

Ellen : Ok, bien, quand pourrais-je le voir?

Herndon : Il est juste là-bas. - Qu'est-ce que vous attendez? Allez-y.

 

Ellen rejoint l’homme assis plus loin, sur un banc.

 

L’agent : Mon Dieu, est ce que tu as vraiment fini la fac de droit?

Ellen : Bill ne m'a pas dit qu'il  y avait un âge minimal.

L’agent : Si Patty Hewes ne vous soutenait pas... Je ne vous parlerais même pas.

Ellen : Bon à savoir. Pouvez-vous m'aider ou pas?

L’agent : Comprenez bien de quoi on parle ici. Si je vous donne une info à propos de cet homme et que quelqu'un le découvre je perds mon travail. Je serai estampillé traître et très probablement envoyé en prison.

Ellen : Je ne rendrai pas cette information publique. Je ne peux même pas l'utiliser au tribunal.

L’agent : Alors à quoi vous sert-elle?

Ellen : A atteindre High Star. Howard Erickson est ma cible.

L’agent : Mon implication ne peut jamais être révélée. On ne s'est jamais vus. On n’a jamais parlé. Nous n'avons jamais eu aucun contact.

Ellen : Compris. Puis je vous poser une question? Pourquoi faites-vous ça?

L’agent : Je le fais pour Bill. Lui et moi nous sommes entraidés pendant des années.

Ellen : Ca ne peut pas être seulement ça.

L’agent : Je crois en la CIA. Je n'y aurais pas passé l'intégralité de ma carrière si ce n'était pas le cas. Ce pays en a besoin. Mais je ne crois pas en la corruption. L'agence doit être nettoyée une fois de temps en temps.

Ellen : Après quoi?

L’agent : Nous nous reverrons quand j'aurai quelque chose pour vous.

Ellen : Okay, merci.

L’agent : Bill et moi ne devrions pas être vus ensemble, la prochaine fois... Venez seule.

 

Chez Boorman, le technicien vérifie son installation electronique.

 

Technicien : Le téléphone lui-même est  bon. Les diagnostiques sur les programmes... Voyons... Propres. Le robinet continue à fuir. Quels sont tes problèmes?

Boorman : Personne n'utilise la ligne. Parsons n'a pas parlé à qui que ce soit depuis des jours.

Technicien : Tu penses qu'elle t'a eu?

Boorman : Peut-être. Mmm, écoutes, euh, j'ai besoin de te demander une faveur.

Technicien : Vas-y.

Boorman : Au cas où, tu peux garder un œil sur les trucs à l'agence pour moi?

Technicien : Quelque chose en particulier?

Boorman : Regardes si quelqu'un s'intéresse à mes fichiers. Quelqu'un a laissé filtrer des infos sur une opération que je dirigeais il y a un certain temps appelée "Dust Devil".

Technicien : C'est d'accord.

Boorman : Merci.

 

Patty arrive dans le bureau où doit se dérouler la déposition de Coupet.

 

Girotto : C'était incroyable. Vraiment. J'ai eu un magique... euh - Vous savez que nous avons accepté de faire ça à New York, Patty. Vous pourriez au moins être à l'heure.

Patty : Pourquoi est-ce que la sténo attend dans le hall?

Girotto : Je le lui ai demandé. Monsieur Coupet voudrait un moment avec vous avant que l'on commence.

Coupet : Madame Hewes. S'il vous plait. Cette action légale est déplaisante pour nous tous.

Patty : Déplaisante? Des gens sont morts. Morts directement liées aux essais cliniques de votre médicament.

Girotto : Ça n'a pas été prouvé.

Coupet : Pardonnez-moi Mme. Hewes. Nous reconnaissons que c'est une tragédie. Nous sommes prêts à prendre la responsabilité de nos actes.

Patty : Oui, vous le ferez. Je m'en assurerai.

Coupet : Mme Hewes, le médicament que ma compagnie met à disposition, sauve des millions vies par an dans le monde. Mais le développement de nouvelles cures est paralysé par ce litige.

Patty : Oui Vous voulez dire que vos profits sont paralysés.

Coupet : C'est vrai. La compagnie est très grande. Notre business représente un grande portion de l'économie de mon pays. Beaucoup est en jeu. Il est essentiel pour mon gouvernement que cette affaire soit derrière nous.

Girotto : Donc M. Coupet a obtenu le droit de son conseil d'administration et du Ministère de la Santé à offrir à vos clients un accord.

Coupet : Nous proposons la somme de 343 millions d'euros.

Girotto : C'est un demi-milliard de dollars. C'est plus que généreux.

Coupet : Alors... Etes-vous favorable à cela Mme Hewes?

Patty : Je n'ai que deux jours pour vous déposer. Allez chercher la sténographe. Vous avez déjà gaspillé 10 minutes.

 

Boorman a retrouvé la jeune femme française.

 

Boorman : Tu es sur la même mission que celle qui t'avait amenée ici?

La française : Non, ce sont des vacances. Mon agence m'a donné du temps de libre.

Boorman : Et tu es venue me voir?

La française : Non, j'en avais marre de Paris.

Boorman : La dernière fois que nous étions ensemble... tu as demandé Pourquoi, je ne me suis jamais posé.

La française : Et maintenant tu as une réponse?

Boorman : Je ne pense pas que j'en ai vraiment eu envie. Tu as déjà pensé à être mère?

La française : Pas avec un homme qui a autant de secrets.

Boorman : Joues bien tes cartes, tu pourrais en apprendre.

La française : J'ai aussi des secrets.

Boorman : Je suis certain qu'ils sont beaucoup plus intéressants que les miens.

La française : Je pourrais apprendre les tiens si je le voulais vraiment. Nous avons nos propres techniques... Et j'ai peur de devoir en user.

Boorman : Tu promets?

 

Angel Auroro promène Catherine, Michael s’approche.

 

Angel : Tu as assez chaud chéri? On peut pas se permettre que tu prennes froid. Voilà.

Michael : Salut.

Catherine : Bonjour.

Michael : Elle est belle. J'ai aussi une petite fille.

Angel : Ah bon?

Michael : J'aime tes chaussures. Elles sont très chics.

Angel : Qu'est-ce qu'on dit?

Catherine : Merci.

Michael : Je t'en prie. Tu sais, j'ai un ami de ma fille avec moi. Peut il dire bonjour?

 

Il donne la peluche à Catherine.

 

Michael : Salut!

Catherine : Bonjour.

Michael : Comment ça va aujourd'hui?

Catherine : Bien.

Michael : Je pense qu'il t'aime bien.

Angel : Bien, Catherine, euh... Rends lui.

Michael : C'est bon. Elle peut le garder.

Angel : Merci mais nous ne pouvons pas l'accepter.

Michael : Vraiment, c'est bon. Ce fut un plaisir de faire ta connaissance, Catherine.

Catherine : Est ce que je peux avoir le panda s'il te plait?

Angel : Oh, oui. Eh bien voilà il est là.

 

Erickson attend Boorman devant sa maison. Ils ne se rendent pas compte que la française l’a suivi.

 

Erickson : Je vais en Afghanistan. Je voudrais vos dernières infos. Je veux voir ce qui se passe sur le terrain là-bas.

Boorman : Je verrais ce que je peux trouver. Où est l'urgence de retourner au bac à sable.

Erickson : Je dois venir me montrer, venir voir mes hommes. Avec tous les contrats  qui arrivent, Je veux m'assurer que tout est au top. Et je veux voir Sanchez.

Boorman : Hein, voir Sanchez? Pourquoi?

Erickson : Je veux le regarder dans les yeux... d'un marine à un autre... Lui faire comprendre.

Boorman : Bien, je pense que c'est à toi de voir, mais... je pense que tu ne fais que retarder l'inévitable.

Erickson : C'est un de mes hommes. Je dois donner une chance au gamin.

Boorman : Ce sera encore plus dur à faire quand tu le reverras.

Erickson : Sanchez comprend ce qu'est la chaîne de commandement, il est juste un peu perdu. Je peux le ramener.

Boorman : Tu prends un risque en allant là-bas. Mon meilleur conseil serait de garder nos distances avec lui.

Erickson : J'ai vraiment pas besoin que tu me dises comment diriger mes hommes

Boorman : Tu veux dire tes employés n'est-ce pas?

Erickson : Je pars tôt demain. J'apprécierais vraiment cette info.

Boorman : Très bien, très bien, je passerai des coups de fil. Pourquoi est-ce que tu ne plaques pas ce truc pour aller prendre un verre.

Erickson : Super.

 

Patty enregistre la déposition de Monsieur Coupet.

 

Patty : M. Coupet est-ce une pratique courante pour vous de tester vos vaccins dans des pays du Tiers Monde?

Coupet : Tous les produits pharmaceutiques doivent être testés.

Patty : Prévenez s'il vous plait votre client qu'il doit répondre aux questions.

Girotto : Très bien, vous pouvez répondre. sConsidérez le prévenu.

Coupet : Oui, nous conduisons des études dans des pays du Tiers Monde.

Patty : Parce que les pauvres, sans éducation font des sujets plus coopératifs, est-ce correct?

Coupet : Non.

Patty : Parce que beaucoup de gouvernements du Tiers Monde prendront un pot de vin et regarderont de l'autre côté?

Coupet : Non

Patty : Monsieur Coupet, étiez-vous au courant que l'homme que vous employez pour conduire des études sur le vaccin Tranzec a échoué à l'école vétérinaire?

Coupet : Il y a 20 ans. Il est désormais un chercheur reconnu.

Patty : Monsieur Coupet êtes-vous membre du parti d'extrême droite français ultra nationaliste, le Front National?

Coupet : Je l'ai été brièvement. Je n'y suis plus.

Girotto : Mais putain qu'est-ce qu'a l'affiliation politique de mon client à voir avec cette affaire?

Patty : Le Tranzec a été testé sur les pauvres pauvres et illettrés comme rats de labo. Et les recherches ont étés conduites par quelqu'un qui n'a même pas les qualifications pour s'occuper  d'animaux. Ce genre d'expérimentation contre éthique et calleuse ne vous rappelle donc... rien?

Coupet : Ne me comparez pas aux Nazis.

Patty : Vous l'avez fait... M. Coupet, pas moi.

Coupet : "Chienne de manipulation"

Patty : Vous savez, je parle un peu  français M. Coupet. Et juste parce que cette petite sortie n'était pas en anglais ne signifie pas que ça n'ira pas sur le compte rendu.

Girotto : Eh bien, qu'a t il dit? Dites moi... Qu'est ce que vous avez dit?

Patty : Il m'a traité de salope manipulatrice. Vous avez ça?

Coupet : S'il vous plait... Peut-on continuer "hors compte rendu"?

Patty : Certainement.

Coupet : Nous augmentons l'accord au montant de 650 millions.

Patty : Certainement pas.

 

Erickson arrive au camp en Afghanistan.

 

Erickson : Papa est de retour les garçons!

Carter : Bienvenue de nouveau, Monsieur.

Erickson : Ça fait un putain de bien d'être de retour A.C. Ça fait du bien de respirer cette poussière de nouveau.

Carter : Vous connaissez Barkowski?

Erickson : Bien sûr. -  Bon de vous revoir.

Barkowski : Vous aussi, Monsieur.

Carter : Comment s'est passé votre voyage?

Erickson : La route était un peu pourrie, comme d'habitude. A part ça, j'ai rien à redire.

Carter : Les gars vont être contents de vous  voir, c'est bon pour le moral.

Erickson : Barkowski, ça vous gênerait de sortir une seconde?

Barkowski : Du tout Monsieur.

 

Erickson : Comment va Sanchez?

Carter : Pas bien Monsieur.

Erickson : Je veux lui parler.

 

Patty rentre chez elle. Angel Auroro fait manger Catherine.

 

Patty : Je suis rentrée. Comment va tout le monde?

Catherine : Bien.

Angel : Merveilleux.

Angel : Nous avons joué avec le garçon du dessous. Ils se sont très bien entendus.

Patty : C'est bon à entendre.

 

Elle aperçoit la peluche donnée par Michael.

 

Patty : Quand a-t-elle eu ça?

Angel : Nous étions dehors en train de faire un tour et un gentil Monsieur la lui a donnée. Elle en est folle.

Patty : Un gentil Monsieur.

Angel : Mmmm-mmm. Il avait un visage doux. Il  dit qu'il avait lui aussi une fille.

Patty : Je suis surprise que vous acceptiez un jouet d'un étranger. Je n'en veux pas dans la maison.

 

 

 

Herndon rentre chez lui, il trouve un homme allongé, mort, devant sa porte. Puis il le reconnait, il s’agit de son contact, qu’il avait présenté à Ellen.

 

Herndon : Hey, allez. Allez levez-vous. Hey! Sortons de là. Hey! Allez ce n'est pas votre fichu salon. Jesus Christ, putain de ville! Hey, mec tu veux que j'appelle encore les flics? Je parle... Julius...

 

Au même moment, Boorman reçoit un appel téléphonique.

 

Boorman : Oui

Voix : Votre problème a été réglé.

 

Ellen attend au cimetière, Herndon la rejoint. Puis Ellen appelle Patty.

 

Ellen : Qu'est-ce qu'il y a?

Herndon : Il ne viendra pas.

 

Patty : Je suis au beau milieu d'une déposition. Que se passe-t-il?

Ellen : Il est mort.

Patty : Qui?

Ellen : Le contact de Bill. Je devais le retrouver, il n'est jamais venu. Bill l'a trouvé. Le mec de la CIA. Il sait qu'on est sur son dos.

 

Girotto : Hey! On a un programme ici.

Patty : Une minute.

Girotto : C'est putain d'incroyable.

 

Patty : Tu es seule?

Ellen : Non, je suis avec Bill.

Patty : Bien. Reviens au bureau et restes y jusqu'à ce que je te contacte. Et appelle Huntley. Dis lui d'amener la sécurité.

Ellen : Okay. Je suis désolée.

 

Girotto : Patty, tu ne reverras pas ce temps perdu.

Patty : Je n'en ai pas besoin. Je voudrais parler à votre client hors compte rendu de nouveau.

 

Patty : Je crois que votre dernière offre était 650 millions.

Coupet : Oui.

Patty : J'accepterai à un milliard.

Girotto : Oh bon Dieu, Patty, allez.

Patty : Aussi longtemps que vous ne pourrez pas me donner ce que je veux.

Coupet : Et de quoi avez vous besoin?

Patty : Vous dites que résoudre cette affaire est important pour votre gouvernement.

Coupet : Oui.

Patty : A quel point important?

 

Boorman revient interroger son prisonnier.

 

Boorman : Tu sais ce que je veux savoir. Tu étais là-bas. Tu l’as vu. C’est ta dernière chance.

 

Erickson rentre dans la cellule de Chris.

 

Chris : Doux Jésus.

Erickson : J'ai ramené des choses des Etats Unis. De la bière. Cacahuètes. J'ai pensé que tu pourrais apprécier des trucs de chez toi. Tout ce qui t'est arrivé... J'avais mes raisons, et c'étaient de bonnes raisons. J'espère qu'un jour tu pourras comprendre ça. Lowry... et euh... les autres hommes...

Chris : Franks, Rayburn.

Erickson : Oui. Ils sont partis, Chris. Ils ne reviendront pas. Je ne peux pas les ramener, tu ne peux pas les ramener. Ils sont rentrés là dedans. Ils savaient que c'était dangereux. Personne ne les a forcés.

Chris : Ils avaient besoin d'argent. On en avait tous besoin. Vous voyez, c'est pour ça qu'on travaillait pour vous, parce que Vous payiez plus que n'importe qui. C'est tout.

Erickson : Mes options avec toi... Sont très limitées, Chris. Maintenant la question à laquelle nous devons répondre tous les deux est qu'est ce qui vient après? Tu as une chance de te sauver mais pour ça tu dois jurer de ta loyauté, tu dois faire honneur aux soldats et maintenir ton silence, tu dois emporter ce qui s'est passé à la dernière mission dans ta tombe. C'est le code. J'ai besoin que tu honores ce code.

Chris : J'encule ton code.

Erickson : Maintenant, tu m'écoutes, fiston...

Chris : Ou quoi? Qu'est ce que vous allez faire? Vous allez me tuer? Allez y, donnez moi un putain de flingue je m'exploserai la cervelle ici et maintenant. Allez faites le. Vous m'avez torturé parce que je  disais la vérité?

Erickson : Quelle vérité? Parce que la vérité que je vois c'est qu'il y a des gens dehors qui essaient de nous tuer et on a eu les couilles d'aller les chercher!

Chris : C'était illégal.

Erickson : La loi n'est pas la putain de  vérité. Maintenant... Je te donne une chance de sauver ta peau. Je me souciais de toi. J'ai essayé de te protéger. De te défendre.

Chris : C'est ce que vous avez fait? Vous avez essayé de m'aider?

Erickson : Ouais.

Chris : Ouais?

Erickson : Ouais. J'ai dit à Boorman, que tu étais un chic type. Mais qu'est ce que tu fais? Tu me trahis! Tu parles à des avocats. T'envoies Nassim Marwat pour me niquer! Tout ce qui t'est arrivé, t'est arrivé par ta seule faute.

 

Chris crache sur Erickson qui se lève en colère, le fait tomber et le frappe à coups de pied.

 

Erickson : Va te faire foutre. Va te faire foutre toi! Va te faire, de suceur de bites! Je t'emmerde. - Vas y rigoles. Parce que c'est la putain de dernière chose que tu feras.

 

Patty rencontre Girotto pour signer le marché qu’elle a passé avec Coupet. En échange, elle reçoit une clé USB.

 

Patty : Cet accord requiert que la société de votre client change ses méthodes en matière de tests. S’ils ne s'y plient pas, je reviendrai de nouveau vers eux.

Girotto : Allez Patty. Tu as gagné, relax.

Patty : Vous avez quelque chose pour moi?

Girotto : Oui c'est de la part des Services Secrets français.

 

La jeune femme française appelle Boorman au téléphone.

 

Boorman (répondeur) : Laissez-moi un message.

Française : Je sais que je ne devrai pas appeler mais j'ai besoin de te voir. Mon gouvernement vous trahit.

 

De retour au cabinet, Patty et Ellen consultent les fichiers sur la clé USB.

 

Patty : Son nom est Gerald Boorman.

Ellen : xxx Et le gouvernement français t'a donné son dossier?

Patty : Oui, ils étaient très investis pour que le cas Tranzec soit abandonné. Donc j'ai fait un marché.

Ellen : Tu t'es arrangée pour faire avancer mon dossier?

Patty : C'était un arrangement très juteux.

Ellen : Est ce qu'il y a quoi ce que soit d'utile dans les infos?

Patty : J'ai trouvé quelque chose de très intéressant. Le fichier des services secrets a arrêté de recevoir des informations sur les missions de Boorman début 2010.

Ellen : Et la dernière mission de Chris a eu lieu en Octobre.

Patty : Je pense qu'il est temps de passer un coup de fil.

 

Boorman est chez lui, lorsque son téléphone sonne. Il s’apprête à écouter la conversation téléphonique d’Ellen.

 

Ellen : Patty c'est Ellen.

Patty : Je suis heureuse que tu appelles.

Ellen : Pourquoi ça?

Patty : Je m'apprêtais à m'entretenir avec M. Boorman. - Bonjour, M. Boorman. C'est Patty Hewes. Il n'y a aucun besoin de répondre. Je sais que vous m'écoutez. Donc, s'il vous plait ne raccrochez pas. Je pense que nous pouvons être utiles l'un à l'autre.

 

Patty a donné rendez-vous à Boorman dans le parc.

 

Patty : J'ai appris beaucoup sur vous.

Boorman : Vraiment?

Patty : Commençons par le fait que vous dirigiez un programme d'extraction illégal nommé Dust Devil. Avec l'aide d'employés de High Star, votre agence a été capable de fournir à la Communauté Internationale des informations au sujet de terroristes présumés en Afghanistan. Le problème est, que le gouvernement français a appris beaucoup d’informations erronées et certaines des cibles que vous avez torturées étaient innocentes.

Boorman : Merde, ce sont les Français.

Patty : Donc à cause de la pression internationale, la CIA a arrêté l'opération Dust Devil, ce qui fut le cas début 2010. Mais trois employés d'High Star ont étés tués en Octobre... Ce qui veut dire que Howard Erickson  et vous avez envoyé ces hommes sur une mission qui n'était pas sanctionnée par la CIA. Qu'est ce que Howard Erickson a récupéré au cours de cette mission? Qui était la cible ?

Boorman : Autant que je pourrais aimer rester à bavarder de Dust Devil, j'ai bien peur que ce ne soit classé  secret défense et que je ne le puisse pas.

Patty : Vous avez aidé Erickson à couvrir la mort de trois employés de High Star, donc je pense que vous avez très gros à perdre. Nous ne voulons pas de vous. Nous ne sommes pas idiots. Nous savons que nous ne pouvons pas descendre la CIA.

Boorman : Oh, bien, qui voulez vous?

Patty : Howard Erickson. La preuve que ces hommes sont morts illégalement, pour tenir High Star responsable, et apporter une restitution aux familles.

Boorman : Mme. Hewes... Vous combattez avec le mauvais cheval.

Patty : Donnez nous Howard Erickson, et nous vous laisserons tranquille.

Boorman : Je- Je ne fais pas de marché. Principalement, parce que je n'y suis pas obligé.

Patty : Je sais que vous avez fait assassiner notre contact. Si quoi que ce soit arrive à Mlle Parsons ou à moi, je me suis arrangée pour que tout ce que nous avons sur vous soit rendu public. Passez une bonne journée M. Boorman.

 

Ellen attend Patty au cabinet.

 

Ellen : Comment ça s'est passé?

Patty : Il n'a pas montré sa main, mais je peux affirmer qu'il était nerveux.

Ellen : Qu'est ce qu'on fait en suite?

Patty : On attend qu'il se retourne contre Erickson.

 

Boorman rencontre Owen.

 

Boorman : J'avais tort. La plainte contre High Star. Tu m'as demandé si ça avait quoi que ce soit à voir avec Dust Devil.

Owen : C'est le cas?

Boorman : Oui. Erickson a menti. Il m'a fait ça dans le dos. Après que l'agence ait annulé l'opération, il en a quand même organisé.

Owen : Qu'est-ce que ça a à voir avec nous?

Boorman : Il a utilisé l'unité Dust Devil, et trois des gars ont étés tués.

Owen : Doux Jésus, Bordel!

Boorman : High Star doit prendre pour tout ça. Il est temps de couper les ponts avec Howard Erickson.

 

La française crochète la serrure de la porte d’entrée de Boorman. Elle entre, la maison est vide mais du bruit l’attire à l’étage.

 

La française : Bonjour? - Jerry? - Bonjour? - Jerry?

 

Boorman est chez Erickson, rentré d’Afghanistan.

 

Boorman : Tu as parlé à Sanchez?

Erickson : Oui je l'ai fait, et je lui ai proposé une main tendue.

Boorman : Et?

Erickson : Ce fils de pute ne l'a pas prise.

Boorman : Je suis désolé d'entendre ça.

Erickson : Il me force la main. Il faut qu'il parte.

Boorman : Howard, toi et moi ça fait très longtemps. Si c'est ta décision, je te suis à 100%

Erickson : Merci Jerry. C'est bon de savoir que je t'ai dans les tranchées avec moi.

 

Chez Boorman, la française colle l’oreille contre la porte verrouillée à l’extérieur. De l’autre côté, le prisonnier se lève de son lit et colle également l’oreille contre la porte. Il s’agit du jeune garçon afghan.

 

La française : Hello? Jerry?

The young Afghan boy walks into the room where Chris is held.

Boy: I've already seen.

- - - - - - - - - - - A month ealier

Patty was with his psychiatrist.

 

Dr Baldwin : What were you thinking about?

Patty : Mm... no, nothing.

Dr Baldwin : You were talking about the incident, and then you just drifted away.

Patty : "The incident"?

Dr Baldwin : Mm. Why don't you just walk me through it again? Step by step.

Patty : I was leaving for work. I stepped out of the elevator and entered the lobby. My doorman started to talk to me. He was going on and on about the weather, and I was trying to ignore him, because...

Dr Baldwin : Because? Because what?

Patty : Because I was on the phone.

Dr Baldwin : Who were you speaking to?

Patty : Yale Law School.

Dr Baldwin : And what was the conversation about?

Patty : My law partner, three years ago. He died. Tom. I was trying to set up a scholarship in his name.

Dr Baldwin : That's nice. Were you able to?

Patty : No. Got caught up in red tape and university politics, so... Anyway, that was the call I was making.

Dr Baldwin : So maybe that's why you were angry. Tom... Tom was obviously very important to you. Well, at your age, leaving a legacy... starts to become important. You start thinking about your mortality.

Patty : Mortality? How old do you think I am?

Dr Baldwin : It's not your age I'm talking about, it's more this... this phase in your life, where you've become extremely successful. Powerful. Mastered your profession. It becomes important to kind of pass that on. So, what would you like to do next?

Patty : Well, I don't spend much time thinking about what's next.

Dr Baldwin : But I'd imagine that you'd like your firm to live on, after you've stepped away.

Patty : Well, my son would have made a brilliant lawyer. He has a first-rate mind. But he refuses to use it.

Dr Baldwin : So he's not going to carry on the legacy.

Patty : He's suing me for custody of my granddaughter.

Dr Baldwin : Is there anyone else?

Patty : Nope.

Dr Baldwin : You've spoken in the past about a young attorney. A woman. You weren't sure why you were keeping her around.

Patty : Yeah.

Dr Baldwin : Did you ever end up helping her?

Patty : I did.

Dr Baldwin : Well, that's interesting.

 

Erickson took his son in the plant he just bought to O'Malley.

 

Erickson : Go, come on. That whole side will be demolished to make room for the new barracks.

Son : Are you guys going to use dynamite?

Erickson : Doubtful. Probably bulldozer it.

Son : Can I drive the bulldozer?

Erickson : We'll see, bub. I brought you guys to see this before it was demolished so when we come back, you'll understand what hard work means. What progress is. Because if you're not moving forward in life, boys, you're moving backwards.

 There's no in-between. You understand?

Sons : Yes, sir.

Jake : Oh, man, you guys gotta see this!

Son : What is it?

Erickson : Hey, guys? Guys, don't go in there! Boys, don't go in there! Come back. Come back!

 

Jake takes them to a room where Chris is attached.

 

Jake : His name is Chris.

Son : What are you doing here?

Chris : Your dad brought me.

Son : Did you do something wrong?

Chris : Your father thinks I did.

Son : What did you do?

Chris : Ask your dad.

Son : What did he do, Dad?

Erickson : I don't know this man.

Chris : Guys, come here. It's okay, I... I just want to tell you something. Your dad... is gonna kill me.

Son : Dad?

 

Erickson wakes up suddenly. It is behind the wheel and waited for a son.

 

Erickson : Hey, pal.

Son : What's wrong?

Erickson : I just dozed off for a minute; I'm all right. How'd it go?

Son : Well... I won.

Erickson : I Won what? I thought this was just a practice.

Son : No, today was the wrestle-off.

Erickson : Oh! Oh, right.

Son : Yeah, I finally beat Dravecki!

 I'm gonna be in the meet on Friday, Dad. You'll get to see me in competition now.

Erickson : Yeah, I might be able to make that.

Son : What do you mean, might?

Erickson : I have some things going on at work. This isn't a great time.

Son : Okay.

Erickson : Let's go get some chow.

 

Carter enters the cell by Chris. He gives her a drink.

 

Chris : How long have I been here?

Carter : About a month.

Chris : I'm worried about my dog. You think you could find out how she's doing? I left her with Ellen Parsons.

Carter : You think we're going to talk to your lawyer?

Chris : I'm just asking about the... my dog.

Carter : Sorry.

Chris : Where does this end, A.C.? You gonna kill me? 'Cause you-you can't keep me in here forever. Yeah. Of course you don't know how it ends. Of course, 'cause you just take orders from Erickson. You're like his fucking slave.

Carter : Fuck you.

Chris : You must be getting paid a fuckload, huh?

Carter : I don't work for him for the money.

Chris : You think what we did is helping win the war?

Carter : Dust Devil was about national security. When I put you in charge of that unit, you said you understood that. You told me that you were committed. Why you gave me this? Hmm? Because we had an understanding that we'd do what it takes.

Chris : I got those for my men. I gave it to you 'cause I thought you were one of us. You're not.

Carter : You don't have any fucking men.

Chris : Erickson never told you who we pulled out of that last mission, did he?

Carter : You know I never asked. Because it's not my job to know.

 

Carter out his military medal, then gets up and puts it at the feet of Chris.

Ellen gives the picture of Boorman Park in Herndon.

 

Herndon : So this is the guy? You sure?

Ellen : He was seen at the detention center questioning Nasim Marwat. Then, lo and behold, Nasim gets deported.

Herndon : Hmm.

Can you get his name for us?

Herndon : You want me to out a CIA agent? This is dangerous territory. My advice is forget about this.

Ellen : Well, that's not an option.

Herndon : What do you hope to get out of it? You can't beat the CIA. Believe me, I tried.

Patty : Bill, if you can get information on this man, we may be able to pressure him into turning against Howard Erickson.

So not just a name you want. You want dirt against this guy?

Ellen : Anything you can get.

Patty : We know that you have a contact at the agency.

Herndon (leaving): I'm not-- I'm not going to promise anything. I mean, you guys are nuts.

 

Ellen : Did he really try and take on the CIA?

Patty : 15 years ago, Bill went down to D.C. on a corruption case involving the Pentagon. Then he realized the CIA was involved.

Ellen : What happened?

Patty : He took them on. They pushed back hard. They played dirty. Eventually, he realized that he'd have to do the same thing. So... He concocted false evidence. Was caught.

Ellen : And that's why he was disbarred?

Patty : Yeah.

 

The phone rings.

 

Patty : Yes?

Maggie : Miss Hewes, your car is here.

Patty : Thank you.

Patty : I'm afraid I'm not going to be around much the next couple of days.

Ellen : Pharmaceutical case?

Patty : Yeah, I can't put it off any longer. The trial date's coming on, and I have to keep moving on the depositions, so...

Ellen : No problem. I'm fine. I've got a meeting with the plaintiffs, and hopefully Bill will come up with something. So, I'll let you know.

 

Boorman continues his drawing of the naked woman. He thinks back to Afghanistan.

 

Chris : Jesus! Who the fuck is that?!

Boorman : Our target. We're pulling him out. He's got valuable information. Make sure the perimeter is secure. We're taking him out of here.

 

Boorman goes upstairs, he spoke to his prisoner that it is not.

 

Boorman : It's just you and me, you know. No one knows you're there. Answer me! What happened?

Patty prepares dossiers before Michael.

 

Patty : I have a deposition to go to. I don't have a lot of time.

Michael : You asked me here.

Patty : I got your summons. You do not want to sue me for custody.

Michael : Of my own daughter? I think I do. I asked you nicely if I could meet her. You said no. You left me no option.

Patty : Michael, you will lose. You will be humiliated. It will probably destroy you.

Michael : I'm not going to lie down for you.

Patty : You deserted your child. Face that reality and live with it.

Michael : Do you think you're facing reality? Have you really thought this through?

Patty : I'm late. Nothing more to say.

Michael : What if you die? If something happens to you, who's going to take care of Catherine? And when she gets older and asks about her dad, what are you going to tell her? You lied to me about my father until I was almost out of high school. I know how it feels.

Patty : That was a totally different situation.

Michael : You don't get to make the rules, Mom. There's the law. And I'm going to use it to get what's mine.

Patty : See you in court.

Michael : I missed Christmas and her birthday. It's small, but I was hoping you would give this to Catherine for me.

 

Patty does not plush, and leaves the office without answering.
Erickson did visit the site to Boorman.

 

Erickson : An economist at the state college said that the expansion's going to add a thousand news jobs to the local economy.

Boorman : You sound like a man who's considering a run for elected office, Howard.

Erickson : Politics? Not on your life.

Boorman : Hallelujah.

Erickson : None of this would have been possible if you hadn't have gotten those contracts renewed. Just holding up my end of the bargain.

Boorman : The agency is grateful for your assistance.

Erickson : So that witness-- We're in the clear now?

Boorman : Mr. Nasim Marwat has signed a statement denying any knowledge of the mission, in exchange for a ticket home.

Erickson : You had him deported?

Boorman : Gone! Bye-bye.

You should have no problem getting the case dismissed. There's still Chris Sanchez. Either he agrees to keep his mouth shut, or he doesn't. There's no in between.

Erickson : Yeah, I know.

Boorman : Sooner or later, you got to figure out what to do with him.

 

Herndon gave visit Ellen in a cemetery.

 

Ellen : Flowers for me?

Herndon : Ah, this is a cemetery, so try to look like you're here for a reason. And, uh, walk slowly.

Ellen : So is your contact willing to help us?

Herndon : He wants to see you first. He wants to know who he's dealing with.

Ellen : Okay, well, when can I see him?

Herndon : He's right over there. Well, what are you waiting for? Go ahead.

 

Ellen joined the man sitting farther on a bench.

 

Agent : Christ, are you even out of law school?

Ellen : Bill didn't tell me there was an age requirement.

Agent : If Patty Hewes didn't have your back... I wouldn't even be talking with you.

Ellen : Good to know. Can you help me or not?

Agent : Understand what we're talking about here. If I give you information about this man and anyone finds out, I will lose my job. I'll be branded a traitor and very likely go to jail.

Ellen : I won't go public with the information. I can't even use it in court.

Agent : Then what do you want it for?

Ellen : To get to High Star. Howard Erickson is my target.

Agent : My involvement can never be disclosed. We never met. We never spoke. We never had any contact whatsoever.

Ellen : Understood. Can I ask you a question? Why are you doing this?

Agent : I'm doing it for Bill. He and I have helped each other for years.

Ellen : It can't just be that.

Agent : I believe in the CIA. I would not have spent my entire working life there if I didn't. This country needs it. But I do not believe in corruption. The agency needs to be cleaned up from time to time.

Ellen : So, what next?

Agent : We'll meet again when I have something for you.

Ellen : Okay. Thank you.

Agent : Bill and I shouldn't be seen together, so next time, uh... come alone.

 

In Boorman, the technician checks the electronic installation.

Technician : The phone itself is fine. The diagnostics on the software-- Let's see-- Clean. The tap is definitely still on and running. What's your concern?

Boorman : No one's using the line. Parsons hasn't talked to anyone in days.

Technician : You think she made you?

Boorman : Could be. Mmm, listen, uh, I need to ask another favor.

Technician : Shoot.

Boorman : Just in case, can you keep an eye on things at the agency for me?

Technician : Anything in particular?

Boorman : See if anyone pokes around my files. Someone leaked info on an operation I was running a while back called "Dust Devil."

Technician : You got it.

Boorman : Thanks.

 

Patty arrives in the office where the deposition is to take place in Coupet.

 

Girotto : It was incredible. It really was. Had a magical... uh... You know, we agreed to do this in New York, Patty. You could at least be on time.

Patty : Why is the stenographer waiting in the hall?

Girotto : I asked her to. Mr., uh, Coupet would like a moment before we begin.

Coupet : Ms. Hewes, s'il vous plaît. This legal action is unpleasant for us all.

Patty : Unpleasant? People are dead... as a direct result of your drug trials.

Girotto : That hasn't been proven.

Coupet : Forgive me, Ms. Hewes. We recognize this is a tragedy. We are prepared to admit our mistakes.

Patty : Yes, you will. I'll make sure that you do.

Coupet : Ms. Hewes, the medications that my company provides save millions of lives around the world. But development of new cures has been paralyzed by this litigation.

Patty : You mean your profits have been paralyzed.

Coupet : It is true. The company is very large. Our business represents a significant portion of my country's economy. Much is at stake. It is essential to my government that we put this case behind us.

Girotto : So Mr. Coupet has been empowered by his board of directors and the French Ministry of Health to offer your clients a settlement.

Coupet : We propose the amount of 343 million euros.

Girotto : That's half a billion dollars, Patty. It's more than generous.

Coupet : Alors... you are amenable to this, Ms. Hewes?

Patty : I have only two days to depose you. Get the stenographer. You've already wasted ten minutes.

 

Boorman found the young French woman.

 

Boorman : You here on the same assignment that brought you here before?

Woman : No, this is a vacation. My agency gave me time off.

Boorman : And you came to see me?

Woman : No, I was bored of Paris.

Boorman : When we were together last... you asked why I never, never settled down.

Woman : And now you have an answer?

Boorman : Don't think I was ever really ready. You ever think about being a mother?

Woman : Not with a man who has so many secrets.

Boorman : Play your cards right, you just may learn a couple of them.

Woman : I have secrets, too.

Boorman : I'm sure they're a lot more interesting than mine.

Woman : I could learn yours if I really wanted to. We have our own techniques... and I'm not afraid to use them.

Boorman : You promise?

 

Angel Auroro walks Catherine, Michael approaches.

 

Angel : Are you warm enough, honey, huh? We can't have you catching cold. There we go.

Michael : Hello there.

Catherine : Hi.

Michael : She's beautiful. I have a little girl, too.

Angel : Oh, yes?

Michael : I like your shoes. They're very bright.

Angel : What do you say?

Catherine : Thank you.

Michael : You're welcome. You know, I have one of my daughter's friends with me. Can he say hello? Hello there.

Catherine : Hello.

Michael : How are you today?

Catherine : Good.

Michael : I think he likes you.

Catherine : Yeah.

Angel : All right, Catherine, let's... Let's give it back.

Michael : That's all right. She can keep it.

Angel : Thank you, but we, we can't accept this.

Michael : Really, it's all right. It was nice to meet you, Catherine.

Catherine : Can I have the panda, please?

Angel : Oh, yes. Well, here you go, there he is.

 

Erickson expects Boorman front of his house. They do not realize that the French followed.

 

Erickson : I'm heading over to Afghanistan. I'd like to get your latest intel. I want to see what's happening on the ground over there.

Boorman : Well, I'll see what I can dig up. What's the sudden urge to go back to the sandbox?

Erickson : I need to make an appearance, check on my men. With all the new contracts coming in, I want to make sure everything's tip-top. And I want to see Sanchez.

Boorman : Uh, see Sanchez? What's the point?

Erickson : I want to look him in the eye... one Marine to another... make him understand.

Boorman : Well, I guess that's up to you, but... I think you're just delaying the inevitable.

Erickson : He's one of my men. I got to give the kid a chance.

Boorman : It'll be harder to do once you see him again.

Erickson : Sanchez understands the chain of command; he's just a little lost. I think I can bring him back.

Boorman : You're taking a risk going over there. My best advice is to keep your distance from him.

Erickson : I really don't need you telling me how to run my men.

Boorman : You mean your employees, don't you?

Erickson : I'm heading out early on tomorrow. I really would appreciate that intel.

Boorman : All right, all right, I'll make some calls. Why don't you ditch that thing and we'll go in and have a drink?

Erickson : Outstanding.

 

Patty recorded the testimony of Mr. Coupet.

 

Patty : Mr. Coupet, is it common practice for your vaccines to be tested in third-world countries?

Coupet : All pharmaceuticals must be tested in clinical trials.

Patty : Please instruct your client to answer the question.

Girotto : All right, you can answer. Consider him instructed.

Coupet : Yes, we conduct trials in third-world countries.

Patty : Because impoverished, uneducated people make more compliant subjects, is that right?

Coupet : No.

Patty : Because many third-world governments will happily take a bribe to look the other way?

Coupet : No.

Patty : Mr. Coupet, were you aware that the man you hired to conduct trials on the vaccine, Tranzec, failed out of veterinary school?

Coupet : Two decades ago. He's now a very well-respected researcher.

Patty : Mr. Coupet, are you a member of the extreme-right French ultra-nationalist political party, le Front National?

Coupet : I was, briefly. Not anymore.

Girotto : What the hell does my client's political affiliation have to do with this case?

Patty : Tranzec was tested using poor, illiterate children as guinea pigs. And the research was conducted by a person who wasn't even qualified to care for animals. Now, does that kind of callous, unethical experimentation remind you of... anything?

Coupet : Do not compare me to the Nazis.

Patty : You did... Mr. Coupet, not me.

Coupet : “Chienne de manipulation”

Patty : You know, I speak a little French, Mr. Coupet. And just because that little outburst wasn't in English doesn't mean it's not gonna be on the record. Well, what did he say?

Girotto : Tell me what you... what-what did you say?

Patty : He called me a manipulative bitch. You get that?

Coupet : Please... may we go off the record?

Patty : Certainly.

 

Coupet : We will increase the settlement offer to $650 million.

Patty : Absolutely not.

 

Erickson arrives at the camp in Afghanistan.

 

Erickson : Daddy's home, boys!

Carter : Hey, welcome back, sir.

Erickson : Damn good to be back, A.C. Feels good breathing in that dust again.

Carter : You know, uh, Barkowski.

Erickson : Sure I do. Good to see you again.

Barkowski : You, too, sir.

Carter : So, how was your trip?

Erickson : Oh, the road in was a little hairy, as usual. Aside from that, I got nothing to complain about.

Carter : The guys are gonna be happy to see you-- It's good for morale.

Erickson : Barkowski, would you mind stepping out for a second?

Barkowski : Of course, sir.

 

Erickson : How's Sanchez?

Carter : Not good, sir.

Erickson : I want to talk to him.

 

Patty goes home. Angel Auroro is eating Catherine.

 

Patty : I'm home! How is everyone?

Catherine : Good.

Angel : Wonderful. We had a play date with the boy downstairs today. They got along very well.

Patty : Well, that's good to hear. - Where did she get that?

Angel : We were out on a walk, and a nice man gave it to her. She's crazy about it.

Patty : A nice man.

Angel : Mm-hmm. He had a kind face. Said he had a daughter of his own.

Patty : I'm surprised you'd take a toy from a stranger. I don't want it in the house.

 

Herndon returned home, he found a man lying, dead, at the door. Then he admits he is his contact, he had presented to Ellen.

Herndon: Hey, come on. Go stand up. Hey! Let's get out of there. Hey! Go is not your damn show. Jesus Christ, fucking town! Hey, man you still want me to call the cops? I speak ... Julius ...

At the same time, Boorman gets a phone call.

 

Boorman : Yeah.

Voice : Your problem's been solved.

 

Ellen is waiting at the cemetery, Herndon joins. Ellen called Patty.

 

Ellen : What's wrong?

Herndon : He's not coming.

 

Patty : I'm in the middle of the deposition. What's going on?

Ellen : He's dead.

Patty : Who?

Ellen : Bill's contact. I was supposed to meet him, and he never showed. Bill found him. The CIA guy. He knows we're on to him.

 

Girotto : Hey! We're on a schedule here.

Patty : One minute.

Girotto : This is un-fuckin'-believable.

 

Patty : Are you alone?

Ellen : No, I'm with Bill.

Patty : Good. Go back to the office and stay there until you hear from me. And call Huntley. Tell him to bring security.

Ellen : Okay. I'm so sorry.

 

Girotto : Patty, you're not getting this time back.

Patty : I don't need it. I'd like to talk to your client again, off the record.

 

Patty : I believe your last offer was $650 million?

Coupet : Yes.

Patty : I'll accept a billion.

Girotto : Oh, Jesus, Patty, come on.

Patty : As long as you can get me what I need.

Coupet : And what is it you need?

Patty : You say resolving this case is important to your government.

Coupet : Oui.

Patty : How important?

 

Boorman returns query his prisoner.

 

Boorman : You know what I want to know. You were there. You saw. This is your last chance.

 

Erickson enters the cell of Chris.

 

 

Chris : Jesus Christ.

Erickson : I brought some things from the States. Some beer. Peanuts. I thought maybe you could

use some things from home. - Everything that's happened to you... I've had my reasons, and they were good reasons. I hope someday you'll be able to see that. Lowry... and, uh... the other men...

Chris : Franks. Rayburn.

Erickson : Yes. They're gone, Chris. They're not coming back. I can't bring 'em back, you can't bring 'em back. They went in there. They knew it was dangerous. No one forced them.

Chris : They needed the money. We all did. You see, that's why we worked for you, because... you paid more than anyone else. That's it.

Erickson : My options with you... are very limited, Chris. Now, the question that you and I have to answer together is... what next? You have a chance to save yourself... but you need to summon your loyalty, you need to soldier up and maintain your silence, you need to take what happened on that last mission to your grave with you. That's the code. I need you to honor that code.

Chris : Fuck your code.

Erickson : Now, you listen to me, son...

Chris : Or what? What are you gonna do? You gonna kill me? Go ahead, give me a fuckin' gun. Give me a fuckin' gun, I'll blow my fuckin' brains out right now for you. Go on, do it. You tortured me because I told the truth?

Erickson : Whose truth? Because the truth that I see is there's people out there trying to kill us and we had the balls to go get them!

Chris : It was illegal.

Erickson : The law is not the fucking truth! - Now... I'm giving you a chance to save yourself. I was looking after you. I tried to protect you.

I defended you.

Chris : That's what you did? You tried to help me?

Erickson : Yeah.

Chris : Yeah?

Erickson : Yeah. I told Boorman that you were a standup guy. But what do you do? You betray me! You talk to lawyers. You send Nasim Marwat to fuck me! Everything that happened to you, you did to yourself.

 

Chris spits on Erickson who rises in anger, dropped and hit him with kicks.

 

Erickson : Fuck you. You fucked yourself! Fuck you, you cocksucker! Fuck you! - Go ahead and laugh. Because it's the last fucking thing you will ever do.

 

Patty meets Girotto to sign the contract it has with past Coupet. In return, it receives a USB key.

 

Patty : This agreement requires your client's company to change their

testing practices. If they don't comply, I'm coming after them again.

Girotto : Come on, Patty. You won. Relax.

Patty : You have something for me.

Girotto : Yeah. It's courtesy of the French Secret Services.

 

The young French woman called Boorman on the phone.

Boorman (answering machine): Leave a message.

French : I know I shouldn't call, but I need to see you. My government is betraying you.

 

Back in the office, Patty and Ellen consult the files on the USB.

 

Patty : His name is Gerald Boorman.

Ellen : And the French government gave you his file?

Patty : Yeah, they were very invested in the Tranzec case going away, so I made a deal.

Ellen : You settled your case to help me with mine?

Patty : It was a very healthy settlement.

Ellen : Is there any useful information in here?

Patty : It I found something very interesting. The French Secret Service

stopped getting intelligence briefings from Boorman in early 2010.

Ellen : And Chris' last mission was October. I think it's time we made a call.

 

Boorman is at home when his phone rings. It is about listening to the phone conversation with Ellen.

 

Ellen : Patty, it's Ellen.

Patty : I'm glad you called.

Ellen : Why is that?

Patty : I was just about to have a word with Mr. Boorman. - Hello, Mr. Boorman. This is Patty Hewes. There's no need to respond. I know you're listening. So please don't hang up. I think we can be useful to each other.

 

Patty gave Boorman go to the park.

 

Patty : I've learned a lot about you.

Boorman : Is that so?

Patty : Let's start with the fact that you used to run an illegal extraction program called Operation Dust Devil. With the help of High Star employees, your agency was able to provide the international community with intelligence about supposed terrorist activities in Afghanistan. The problem is, the French government learned that much of your intelligence was faulty, and that some of the targets you tortured were innocent.

Boorman : Well, hell, they're the French.

Patty : So, because of international pressure, the CIA stopped Operation Dust Devil, which was, what, beginning of 2010. But three employees of High Star were killed in October... which means that you and Howard Erickson sent those men on a mission that was not sanctioned by the CIA. What did you and Howard Erickson get out of that mission? Who was the target?

Boorman : Much as I'd love to chat about Dust Devil, I'm afraid it's classified, and I'm just not at liberty.

Patty : You helped Erickson cover up the deaths of three High Star employees, so I'm thinking you've got a lot to lose. We don't want you. We're not idiots. We know we can't bring down the CIA.

Boorman : Oh, well, who do you want?

Patty : Howard Erickson. Proof that those men died illegally, so we can hold High Star accountable, get restitution for their families.

Boorman : Ms. Hewes... you're wrestling with the wrong gator.

Patty : Give us Howard Erickson, and we'll leave you alone.

Boorman : I-I don't make deals. Mainly 'cause, uh, I don't have to.

Patty : I know you had our contact killed. And if anything happens to me or Miss Parsons, I've arranged for everything we have on you to go public. Have a nice day, Mr. Boorman.

 

Ellen waits Patty in the office.

 

Ellen : How'd it go?

Patty : As we suspected. He didn't show his hand, and I could tell he was nervous.

Ellen : What do we do next?

Patty : Wait for him to turn against Erickson.

 

Boorman met Owen.

 

Boorman : I was wrong. The lawsuit against High Star? You asked me if it had anything to do with Dust Devil.

Owen : Does it?

Boorman : Yes. Erickson lied. He went rogue on me. After the agency called off the operation, he pulled another mission anyway.

Owen : So what's it got to do with us?

Boorman : He used the Dust Devil unit, and three of 'em got killed.

Owen : Oh, Jesus. Fuck.

Boorman : High Star's got to take the fall for this. It's time we cut ties with Howard Erickson.

 

The French pick the lock of the door of Boorman. She enters the house is empty but the noise attracted the floor.

The French: Hello? - Jerry? - Hello? - Jerry?

Boorman is at Erickson, returned from Afghanistan.

 

Boorman : You talk to Sanchez?

Erickson : Yes, I did, and I offered him a lifeline.

Boorman : And?

Erickson : The son of a bitch did not take it.

Boorman : I'm sorry to hear that.

Erickson : He forced my hand. He's got to go.

Boorman : Howard... you and I-- We go way back. If that's your decision, I'm behind you 100%.

Erickson : Thank you, Jerry. It's good to know I got you in the trenches with me.

 

In Boorman, the French put his ear against the door locked from outside. On the other hand, the prisoner gets up from his bed and also glue ear against the door. This is the young boy in Afghanistan.

 

French : Hello? - Jerry?

 

 

 

Kikavu ?

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CastleBeck, 25.04.2024 à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

Sonmi451, Hier à 12:03

Merci par avance à tout ceux qui voteront dans préférence, j'aimerais changer le design de Gilmore Girls mais ça dépend que de vous.

choup37, Hier à 12:56

Effectivement, beaucoup de designs vous attendent dans préférences, on a besoin de vos votes

sabby, Hier à 16:31

C'est voté pour moi Et en parlant de design, le SWAT a refait sa déco. N'hésitez pas à venir voir

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